LE SITE SOUS-MARIN DE QAITBAY - METHODES ET TECHNIQUES La cartographie et l'identification des blocs |
Isabelle Hairy |
mai 2006 |
Comment décrire spatialement le site sous-marin pour être ensuite capable de l’interroger ? Tout d’abord, nous avons procédé à la cartographie, en repérant la place de chaque pièce antique à l’aide de différentes techniques, des plus traditionnelles (triangulation et carroyage) aux plus modernes (voir item « topographie directe » et « aquamètre »). Les mesures ainsi obtenues sont traitées informatiquement et mènent à la constitution d’une carte gérée par un Système d’Information Géographique (SIG) développé sous MapInfo. |
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Plan général du site des blocs
antiques immergés au pied du fort Qaitbay © CEAlex, carte I. Hairy, tous droits réservés |
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1 - En préalable à l’observation,
la surface des blocs est dégagée des concrétions
et des algues marines qui la recouvrent. Ce travail est à refaire
en moyenne tous les quinze jours en raison de la forte pollution du
site. |
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